Les cheveux sont souvent considérés comme un symbole de féminité, de vitalité et de santé. Pour de nombreuses femmes, la chute de cheveux est un sujet très sensible et parfois on ressent tellement de détresse qu’on cherche des solutions rapides en prenant des médicaments ou des compléments alimentaires. Je comprends, la perte de cheveux peut faire extrêmement peur. Cependant, comprendre les causes de cette chute est essentiel pour savoir comment la ralentir et l’éviter afin de préserver la santé capillaire de ses cheveux.

Une femme adulte possède en moyenne entre 100 000 et 150 000 follicules pileux sur tout le cuir chevelu. Ces follicules ne sont pas tous actifs simultanément, mais ils représentent la densité et la santé capillaire. Il est normal pour une femme de perdre des cheveux chaque jour. En effet, le cycle de croissance naturel des cheveux comprend une phase de croissance, une phase de repos et une phase de décrochage au cours de laquelle les cheveux tombent naturellement. En moyenne, une femme perd entre 50 et 100 cheveux par jour, un phénomène qui peut sembler alarmant mais qui est en réalité une partie normale du processus de renouvellement capillaire.

Si tu as plus de 40 ans et tu as remarqué une chute de cheveux plus accentuée que la normal, voici les 6 causes principales de la chute des cheveux chez la femme à partir de 40 ans :

  1. Le stress chronique : La baisse progressive de la progestérone (notre hormone calmante, relaxante, qui nous aide à bien dormir) nous rend moins résistantes au stress. Sans un système nerveux bien régulé, on ne peut pas digérer les aliments, même les plus sains, et on ne pourra ni absorber, ni assimiler les nutriments nécessaires pour avoir de beaux cheveux.
  2. Une dysbiose intestinale ou un intestin perméable : Les causes sont multiples (infection, stress, sensibilité alimentaire, inflammation…).
  3. Une carence en fer : À cause des saignements menstruels plus abondants ou irréguliers durant la périménopause.
  4. Un problème de thyroïde : Après 40 ans, une femme a une chance sur 10 de développer un problème thyroïdien. Pendant la périménopause, la diminution de la progestérone, en particulier, réduit la quantité d’hormones thyroïdiennes disponibles pour les cellules du corps, ce qui peut affecter la fonction thyroïdienne.
  5. Un excès d’androgène relatif à la ménopause et à la périménopause. Nos cheveux adorent l’œstrogène, c’est pourquoi la baisse de l’œstrogène durant la périménopause et les taux bas d’œstrogène après la ménopause rendent nos follicules pileux plus sensibles à la DHT qui est une hormone dérivée de la testostérone. La DHT est un puissant androgène. Lorsque la DHT se lie aux récepteurs des follicules pileux, elle réduit leur taille et leur durée de croissance, ce qui entraîne progressivement une miniaturisation des cheveux et une accélération de la perte de cheveux.
  6. La résistance à l’insuline : Le déséquilibre entre l’œstrogène et la progestérone durant la périménopause peut contribuer à une résistance à l’insuline.

Il faut savoir que l’on peut combiner plusieurs de ces facteurs.

Si tu souhaites avoir les 3 premiers conseils que toutes les femmes de plus de 35 ans doivent absolument suivre pour travailler sur ces 6 causes principales, je t’invite à télécharger mon guide gratuit en cliquant sur le bouton ci-dessous.

Je sais que beaucoup de femmes se focalisent sur la beauté de leurs cheveux et je comprends, mais la chute des cheveux est un symptôme et il faut aller traiter la cause profonde !

Mon guide va tout expliquer !

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